Obsidia

Titre du livre: Obsidia édité le 29 novembre 2018

Auteurs: Marc Lacombe alias Préface Marcus né le 28 octobre 1966 et Adriana Kritter

Genre de l’œuvre: un roman inspiré du jeu de minecraft

Éditeur: DTC

les personnages principaux:

Esteban 12 ans, le héros

Gaïa l’intrépide est l’amie d’Esteban qui va l’aider.

Le père d’Esteban conseille son fils

L’alchimiste avec ses potions magiques

Le méchant contremaître

et le gentil fils du contremaître

Le narrateur Esteban est le héros

Résumé:

C’est l’histoire d’un petit garçon nommé Esteban, qui est amené par son père malgré lui, dans une ville appelée Obsidia. Il découvre que cette ville possède une mine de diamants et là-bas tout est carré. De plus il y a des monstres.

Esteban et son père se promènent, quand une foule fonce droit sur eux. Ce jeune homme est pris dans la foule. Il cherche son père mais ne le trouve pas. Au bout de la rue, il croise une fille. Cette dernière lui demande de la suivre pour l’abriter. Arrivé à destination Esteban regarde par le balcon quand soudain une créature verte sort de nulle part et explose. Mais que se passe t-il?

Ensuite,quelques jours plus tard, Esteban retrouve son père devenu mineur.

Le héros et Gaïa, la fille qui a abrité le garçon vont rejoindre le père d’Esteban dans la mine. Une autre explosion a lieu. Veut-on les tuer?

Enfin son père trouve un morceau métallique d’un explosif formellement interdit à Obsidia. Est ce un indice?

Esteban rentrera t-il vivant?

Mon avis personnel

Ce livre m’a paru long mais facile à lire. On rentre tout de suite dans l’histoire. La lecture et le vocabulaire sont simples.

J’ai trouvé l’histoire à rebondissements, par exemple quand le père d’Esteban a failli mourir.

A mon avis ce roman est intéressant pour les minecrafteurs car les bâtiments et les constructions décrites peuvent leur donner beaucoup d’idées.

Je conseille ce livre pour trois raisons: d’abord j’ai bien aimé l’esprit du livre en général puis l’amitié entre les protagonistes et pour terminer le mélange de joie et tristesse qu’on ressent pendant la lecture.

Loïc