Charlie et la chocolaterie

 

Auteur : Roald Dahl (d’origine norvégienne né au pays Galle 1916)
Éditeur : Folio Junior
Genre : Roman d’aventure
Personnages Principaux : Charlie, Willy Wonka, Auguste Gloop, Veruca Salt, Viollette Beauregard et Mike Teave

Résumé :

Charlie Bucket vit dans une vieille maison en bois avec ses parents et grands-parents. Cette grande famille était très pauvre ; seul M. Bucket travaillait mais gagnait peu pour la famille. Tous les soirs, au menu c’est soupe au choux mais Charlie avait toujours faim, ce qu’il désirait par dessus tout c’était du chocolat. Quand il allait à l’école, il pouvait voir les tablettes de chocolat empilées dans les vitrines, il en avait l’eau à la bouche mais le pire c’est qu’une chocolaterie était à côté de chez lui. C’était la chocolaterie la plus connue, la plus grande, la plus importante la chocolaterie Wonka qui appartient à M. Wonka, le plus ingénieux des inventeurs de chocolat de tous les temps. C’est l’endroit le plus merveilleux du monde. Charlie voyait l’usine tous les matins et soirs. Il voulait entrer dans cette chocolaterie car il en rêvait. Dans le journal de M. Bucket, on annonce que Willy Wonka rouvre ses portes pour 5 extérieurs à l’usine. 5 ticket sd’or ont été cachés dans délice Wonka. Le lendemain, un petit garçon très gourmand trouve un ticket d’or et une petite fille pourrie gâtée par ses parents aussi. Dans la journal, il est marqué que 2 autres tickets ont été trouvés, un par Viollette Beauregard petite fille qui passe ses journées à manger du chewing-gum et l’autre par un petit garçon qui ne fait que regarder la télé. En rentrant de l’école, Charlie trouva une pièce de 50 pences, il avait faim il dépensa donc l’argent pour 2 tablettes délice Wonka ; dans le deuxième il trouva le dernier ticket d’or. Il courut chez lui pour annoncer la nouvelle. Son père lut le ticket qui expliquait que la visite de la chocolaterie était pour demain…

Mon avis personnel :
J’ai adoré, il y a tout ce qu’il faut : de l’aventure, de la tristesse et de l’humour. Mais il manque de l’amour.

Nesrine