Mon ami Frédéric (publié en 1949)

Auteur : Hans Peter Richter né à Cologne en 1925
Éditeur : la Librairie Générale Française – LPJ
Collection : le Livre de Poche junior
Genre de l’œuvre : roman réaliste
Personnages Principaux : Un jeune garçon et son ami Frédéric

Résumé : Un jeune garçon rencontra son voisin Frédéric. Frédéric était juif et le jeune garçon était catholique. Ils étaient amis et jouaient ensemble. Un jour, le jeune garçon emmena Frédéric à leur réunion pour les catholiques. Cela tombait mal car un monsieur leur expliqua qu’eux, les catholiques, avaient un seul malheur : les Juifs… Frédéric fut choqué. Le monsieur lui demanda de répéter cette phrase : « Notre malheur ce sont les Juifs. ». Frédéric, énervé, lui répondit, après quelques minutes ; « Votre malheur ce sont les Juifs. ». D’autre part, Frédéric dut changer d’école pour aller dans une école Juive. Il y avait des boutiques juives qui étaient détruites. Une nuit, chez Frédéric, il y eut du bruit et quand le jeune garçon monta, la mère de Frédéric était allongée par terre… De peur, il rentra chez lui et quelques temps après, quelqu’un frappa à la porte. Le jeune garçon ouvrit et laissa entrer : un médecin, Frédéric et son père. Le médecin voulait stériliser sa seringue dans l’eau bouillante car il n’y avait plus d’électricité chez Frédéric. La mère du jeune garçon emmena un radiateur électrique. Peu après, Frédéric et son père prièrent puis sa mère mourut. Après cela un enchaînement de malheurs arriva…

Mon avis personnel sur l’œuvre : J’ai adoré ce livre car il y a, à chaque chapitre, une intrigue. Quand je le lisais, il y avait des passages qui me choquaient, comme : « Veux-tu bien ne pas piétiner mes rosiers, sale petit Juif ! » ou « Des affaires de Juifs au milieu des vêtements des gens honorables ! ». Il y en a d’autres mais il y a aussi des passages qui m’ont retenue plus que d’autres. Quand j’aime un livre, je le lis vite et lui je l’ai lu très vite. Je le conseille à ce qui aime être touché par ce qui s’est passé avant et pendant la guerre.

Mathilde