Nous sommes en 2070. Tu es grand-mère, raconte notre confinement de mars 2020 à tes petits enfants.

Dans le confinement en 2020, le plus dur était de ne plus pouvoir sortir à part pour des courses de première nécessité où il fallait se tenir à un mètre de chaque personne ou pour notre travail : infirmier, policier…
On ne pouvait plus voir sa famille ou ses amis. J’ai apprécié d’être chez moi mais j’étais un peu moins concentré qu’à l’école car la tentation est grande… J’ai trouvé que mes copines me manquaient beaucoup. Quelquefois on s’appelait en vidéo. Tous les soirs, avec mes parents, on applaudissait les soignants sur le balcon. Le confinement m’a permis d’avoir un peu plus de temps pour faire des activités manuelles ou jouer du piano, faire de la pâtisserie … Cela me faisait un peu bizarre que presque tous les habitants de la Terre soient confinés chez eux.
Quelquefois j’étais un peu triste pour les gens qui avaient le coronavirus et j’avais un peu peur pour mes mamies et mon papy.

Chloé